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Ce fut la première manifestation digne de ce nom dans les rues de Montcuq. Olivier Besancenot et José Bové en furent les vedettes. Mais à 17 heures, un meeting les attendait à Millau... quelques pas sur l’esplanade Nino Ferrer, en tête du cortège filmé,
Une conférence de presse, peu d’autographes... et vite vite...
Jean-Pierre Pernaut en fit un événement national et la France s’étonna de banderoles comme « Les maisons sans famille aux familles sans maison », « certains ont six maisons, d’autres vivent sous les ponts », « une porte ouverte, c’est un peu de justice g
Agnée » et celle considérée « énigmatique » par le présentateur « ne laissons plus seules les araignées onze mois par an. »
Le maire de Montcuq dut naturellement s’exprimer devant La Tour ; il comprenait le désarroi des familles à la rue et comprenait l’inquiétude des propriétaires ; la situation exigeait une ambitieuse politique de construction,
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l’exclamation « on veut pas des cabanes à lapins, on veut les belles pierres. » Et quelques secondes plus tard « des sous y’en a, suffit de supprimer les emplois fictifs en politique, (...)
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